Album: It's Pop Fiction
« Car des vibrations sonores et musicales existent naturellement aussi en photographie, ma collaboration avec DOVE-i était évidente.
L’album « It’s Pop Fiction » mêle sensations et propos en harmonie avec ma recherche esthétique.
La matière photographique présente dans chacune des chansons m’a permis de proposer une interprétation visuelle forte sans l’imposer. »
Dimitri Lanctuit
Markian fume une cigarette dans l’appartement de sa grand-mère, à Kiev.
Le lieu est insalubre et le jeune homme est bipolaire.
Le contraste de l’image ainsi que sa mise en scène s’accordent avec les rythmes et variations orchestrales de Quarantine.
Plonger à l’intérieur de soi… pour une métamorphose.
Matteo, Diane & Martin - Place de Clichy
Une main gauche s’accroche à un grillage de fer, en plein coeur du marché de Saint-Denis.
La souffrance qui s’émane de cette image et ses interprétations multiples annoncent peut-être… The Revolution
Axel - Marché de Saint-Denis
Un individu, habillé en prêtre, se promène au levé du matin dans le crématorium de Kiev. Il monte une structure à contre-jour et développe des mouvements réfléchis et gracieux.
Il forme avec la structure architecturale une « Mysterious Creature »
Marsel - Crématorium, Kiev
Esther et Théo sont sur l’échelle d’un ancien château d’eau.
Ascension ou descente ?
Questionnement de l’existence et de l’union amoureuse.
Esther & Théo - Picardie
Mahtar Licka est un artiste sénégalais rencontré à Belleville.
Son discours sur l’Afrique, la politique et l’engagement photographique s’accordent agréablement avec le message de CREATE.
L’image comme la chanson incite au devoir de créer avec convictions.
Mahtar Licka - Belleville, Paris
L’image met en scène un jeune homme à la recherche de quelque chose.
Il s’arrête sur des robes…
Quel est le sens des choses ?
Qu’est-ce qui nous guide en tant qu’êtres humains en société ? Où ? Quelque part… « Somewhere »
Axel - Marché de Saint-Denis
L’image est prise au lac Léman, et tente de représenter les échos évoqués dans la chanson.
Au milieu, la barre en métal, autour, un décor en mouvement remplit d’ondes contraires.
La démarche est anthropomorphique.
Lac Léman, Lausanne
À Paris, un étrange tube entour un poteau par temps pluvieux.
« La solitude de l’objet me fait penser au statut de la planète Terre au sein de l’univers. »
Paris 9ème
Jeune photographe autodidacte de 23 ans, Dimitri Lanctuit commence la photographie par hasard en janvier 2019, lors d’un séjour d'un an à Canton en Chine.
Il acquiert rapidement deux appareils argentiques, un Nikon F2 et un Nikkormat forts en valeur sentimentale, puis se met à la recherche constante d’idées, de propos et d’angles particuliers.
Au cours de l’année 2020, Dimitri change son rapport à la photo à l’occasion d’un long séjour en Ukraine. A la fois outil de rencontre et moyen d’expression, la photographie se fait tour à tour interrogative, introspective ou porte parole d’une génération Z.
A travers sa série UKRAINE qu’il présente en octobre 2021, il pose la question suivante : Faut-il cultiver son passé ou s’en éloigner ?
C’est à l’occasion de cette première exposition parisienne que le photographe Dimitri Tolstoï remarque son travail et souhaite l’accompagner dans ce cheminement photographique.
Young self-taught photographer of 23 years old, traveller always in search of encounters, Dimitri Lanctuit starts photography by chance in January 2019, during a one-year stay in Canton in China.
He quickly acquired two film cameras, a Nikon F2 and a Nikkormat with a high sentimental value, and then began a constant search for ideas, themes and particular angles.
During the year 2020, Dimitri changes his relationship to photography during a long stay in Ukraine. Photography becomes in turn interrogative, introspective or the voice of a generation Z.
Through his series UKRAINE, which he will present in October 2021, he asks the following question: Should we cultivate our past or distance ourselves from it?
The photographer Dimitri Tolstoï noticed his work and wished to support him in this photographic path.